Mew mew : une nouvelle équipe [ Petite fic by Ichigo]

Voilà bientôt trois semaines que je m’applique à cacher ma double identité de mew mew. Durant ces trois semaines, rien de vraiment très palpitant ne s’est produit. Pourtant, mes parents disent qu’une menace approche…Je ne sais quel est leur secret, mais il sentent ce genre de chose. En tous cas, Sachiko a finit par s’accepter comme elle est. N’allez pas croire qu’elle en a parler à son copain, non, cependant elle est toujours très angoissée. Pas uniquement à cause de ça, je pense que c’est dans sa nature. Nous n’avons pas encore livré de combat toutes les deux, ça viendra. Au moment où j’écris, je suis dans ma chambre, ça sent bon les encens et il pleut dehors. Je devrais chercher ma troisième semblable, mais avec ce temps, ça ne m’enchante pas. Le ciel est gris, l’eau ruisselle sur les pavés des rues ; les feuilles tombent doucement en silence sur le sol. Nous sommes en automne, et l’automne c’est déprimant. J’aimerais que quelque chose d’un peu spécial à cet instant. Tiens ! La sonnette retentit dans la maison, je me précipite avec joie sur la poignée. Lorsque j’ouvre, j’aperçois…Akiro ! Le pauvre, il est détrempé ! Pour la première fois, il me dit bonjour avec une voix claire, sans bafouiller. Je lui dis d’entrer, il fait si froid dehors. Nous nous asseyons à la cuisine, ma mère arrive et commences à préparer des cookies. C’est sa spécialité, les siens sont délicieux. Au passage, elle me fait un clin d’œil. On est comme ça, une mère et une fille très complices. Je demande alors à mon invité imprévu :



- Qu’est-ce que tu viens faire ici ?

- Tu sais l’autre jour…

- Quand je t’ai complètement écrasé, désolée !

- Oui…Enfin, ça et le reste…Je voulais te rendre ton collier, mais je l’ai perdu…

- Ca ne fait rien, je n’y tenais pas beaucoup.

- Alors je t’en ai racheté un autre, pas tout a fait pareil.



Il me tend un paquet avec du papier cadeau multicolore. Je le contemple quelques secondes, puis commences à l’ouvrir. Je ne peux retenir une exclamation en voyant l’objet. Il est très simple, et très beau. C’est une simple lanière noire avec au bout un cœur rouge (qui me fait penser au bonbons acidulés…Quelle morfale !). Pour lui dire merci, je lui bondis dessus et le secoue dans tous les sens. Il doit me prendre pour une délurée, je n’y peux rien, quand je suis heureuse j’ai des réactions démesurées…

kya la suite ^^

Et voilà, Akiro est rentré chez lui. Pour le remercier, mise à part le fait de lui avoir complètement retourné l'estomac bien sûr, je l'ai invité à venir au parc avec moi samedi. Le pauvre, je ne sais pas ce qu'il a pu penser d'une hystérique qui le secoue dans tous les sens...Enfin bon, il n'y a tout de même pas de quoi en faire une affaire d'état. Soudain j'entends les voix de mes parents qui viennent du salon, ils parlent de moi. En hâte et silence, je descends l'escalier et colle mon oreille contre la porte. Mon attitude est reprochable, je l'avoue, mais je suis trop curieuse. Vous l'interprétez comme un défaut ou une qualité, à vous de voir. Ils parlent d'un certain café, quelque chose comme " Café Mimou" ou un nom de ce genre. C'est passionnant de jouer l'agent secret, j'écoutes tout :
" Je penses que nous allons réouvrir le café mew mew.
- Alors le temps des Mew mew est revenu...Et la menace aussi.
- J'en ai bien peur. Ce qui m'inquiètes plus encore est que nous ignorons tout d'elle...
- Je sais que tu la trouveras Ryo, tu réussis tout ce que tu entreprends. C'est pourquoi, pendant que tu continueras tes recherches, je gererais le café !
Mon comportement empire,voilà que je me trouve à regarder par le trou de la serrure. Quelle indiscrète je fait ! Je regarde d'abord ma mère. Elle rougit légèrement. Elle est toujours comme ça lorsqu'elle fait des compliments, cependant, on peut apercevoir dans son regard une forte lueur de détermination. Peut-être parce que c'est une ancienne mew mew...
J'aurais aimé rester là à les observer plus longtemps, seuleument j'ai eu le malheur d'appuyer avec mon coude sur la poignée et la porte s'est...ouverte ! Je me retrouve étalée sur le tapis en imitation peau de zèbre. Mon père éclate de de rire et ma mère me regarde comme si tout cela était parfaitement normal.Alors, je décide de jouer le jeu :
"- Bon alors, on y va à ce café !"
Ils ont compris que je voulais les aider, et vu leurs airs, ce n'est pas de refus. Après tout, sauver la terre est une affaire de famille chez les Shirogane.

oui la suite ^^

La suiteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !!!!!!!!!!!!!!!!!